Lors de son ultime audition publique, lundi, l’instance a retenu quatre motifs possibles pour une inculpation de l’ancien président. Mais la décision revient désormais au ministère de la justice, qui avait désigné un procureur spécial en novembre.
Lors de son ultime audition publique, lundi, l’instance a retenu quatre motifs possibles pour une inculpation de l’ancien président. Mais la décision revient désormais au ministère de la justice, qui avait désigné un procureur spécial en novembre.